Comment ce médicament agit-il ? Quels sont ses effets ?

Ce médicament est une combinaison des médicaments ombitasvir, paritaprévir et ritonavir en un seul comprimé. Ensemble, ces médicaments appartiennent à la classe de médicaments appelés antiviraux. On utilise ce médicament avec la ribavirine pour traiter l'infection chronique causée par le virus de l'hépatite C (HCC) et plus précisément l'hépatite C chronique causée par la variante du génotype 4.

L'ombitasvir et le paritaprévir utilisent des modes d'action différents pour réduire la reproduction du virus de l'hépatite C. Le ritonavir contribue à cet effet en augmentant la quantité de paritaprévir disponible à l'organisme à chaque dose.

Ce médicament ne prévient pas la transmission du virus de l'hépatite C par contact sexuel ou contamination sanguine et il ne vous empêche pas d'être réinfecté par ce virus.

Si vous prenez ce médicament avec de la ribavirine, veuillez consulter l'article sur ce médicament, en plus de celui-ci.

Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations.Une marque spécifique de ce médicament n'est peut-être pas offerte sous toutes les formes ni avoir été approuvée contre toutes les affections dont il est question ici. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées contre toutes les affections mentionnées dans cet article.

Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d'information sur les médicaments. Si vous n'en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous prenez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable.

Ne donnez ce médicament à personne, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que vous. Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n'a pas été prescrit.

Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il ?

Ombitasvir - paritaprévir - ritonavir n'est plus fabriqué ni vendu au Canada sous aucun nom de marque. Cet article n'est disponible qu'à des fins de consultation. Si vous utilisez ce médicament, discutez avec votre médecin ou un pharmacien de vos options thérapeutiques.

Comment doit-on employer ce médicament ?

La dose recommandée de la combinaison ombitasvir - paritaprévir - ritonavir est de 2 comprimés pris une fois par jour le matin avec de la nourriture. Ce médicament doit être pris en combinaison avec la ribavirine.

Avalez les comprimés avec de l'eau sans les mâcher, les briser, ni les broyer.

Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière de prendre le médicament sans le consulter au préalable.

Il est important d'utiliser ce médicament conformément aux indications de votre médecin. Si vous oubliez une dose et que moins de 12 heures se sont écoulées depuis cette omission, prenez-la dès que possible et continuez à suivre votre posologie habituelle. S'il est presque temps de prendre votre prochaine dose, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N'utilisez pas une double dose pour compenser l'omission d'une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien.

Entreposez ce médicament à la température ambiante, à l'abri de la lumière et de l'humidité et hors de la portée des enfants.

Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés.

Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé ?

Abstenez-vous d'employer ce médicament dans les circonstances ci-après :

  • une allergie à l'ombitasvir, au paritaprévir, au ritonavir ou à l'un des ingrédients du médicament;
  • un antécédent de réaction d'hypersensibilité grave à l'utilisation du ritonavir (nécrolyse épidermique toxique ou syndrome de Stevens-Johnson);
  • une grossesse confirmée ou soupçonnée;
  • une réduction modérée à importante de la fonction hépatique;
  • la prise de l'un des médicaments ci-après :
    • l'alfuzosine;
    • le bosentan;
    • la carbamazépine;
    • le cisapride;
    • la colchicine;
    • la dronédarone;
    • l'éfavirenz;
    • les dérivés de l'ergot de seigle (par ex. l'ergotamine, la dihydroergotamine);
    • l'éthinylœstradiol;
    • l'étravirine;
    • la lovastatine;
    • la lurasidone;
    • le midazolam (pris par la bouche);
    • le millepertuis;
    • le modafinil;
    • la névirapine;
    • le phénobarbital;
    • la phénytoïne;
    • le pimozide;
    • la rifampine.
    • le salmétérol;
    • le sildénafil (si indiqué pour le traitement de l'hypertension pulmonaire);
    • la simvastatine;
    • le triazolam.

Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ?

Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent.

Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin.

Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps.

Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient :

  • des démangeaisons;
  • une douleur abdominale;
  • une faiblesse inaccoutumée;
  • de la fatigue;
  • des maux de tête;
  • de la nausée;
  • une perte d'appétit;
  • des troubles du sommeil;
  • des vomissements.

La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux.

Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste :

  • des signes de troubles hépatiques (par ex. de la nausée, des vomissements, de la diarrhée, une perte de l'appétit, une perte de poids, le jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, une urine sombre, des selles claires).

Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme :  

  • des signes d'une réaction allergique importante (par ex. des crampes abdominales, une difficulté respiratoire, des nausées et des vomissements, ou une boursouflure du visage et une enflure de la gorge);
  • des signes d'une grave réaction cutanée (comme des cloques, une desquamation, une éruption cutanée recouvrant une grande région du corps, une éruption cutanée qui s'étend rapidement ou une éruption cutanée accompagnée d'une fièvre ou d'une gêne).

Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament.

Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde ?

Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament.

Co-infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) : l'innocuité et l'efficacité de l'utilisation de ce médicament n'ont pas été établies chez les personnes également atteintes d'une infection par le virus du VIH. Si vous êtes atteint d'une infection par le VIH, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Comme le ritonavir est également utilisé pour le traitement des infections par le virus du VIH, ce médicament pourrait contribuer à une diminution de l'efficacité du ritonavir pour le traitement de votre infection par le virus du VIH si le virus devient résistant au ritonavir.

Fonction hépatique : la maladie hépatique ou la réduction de la fonction hépatique peut provoquer une accumulation de ce médicament dans l'organisme, causant ainsi des effets secondaires. En cas de fonction hépatique diminuée, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Les personnes ayant une fonction hépatique gravement diminuée ne devraient pas employer ce médicament.

On a rapporté que l'association ombitasvir - paritaprévir - ritonavir avait réduit la fonction hépatique et provoqué une insuffisance hépatique qui dans certains cas s'était avérée fatale. Si vous observez la survenue de symptômes de troubles hépatiques comme de la fatigue, une sensation de malaise, une perte de l'appétit, de la nausée, le jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, une urine foncée, des selles claires, une douleur abdominale, ou une enflure et une démangeaison cutanée, prenez contact avec votre médecin immédiatement.

On a signalé que l'utilisation de ce médicament avait causé des signes attribuables à une réduction de la fonction hépatique. Cela apparaît le plus fréquemment chez les femmes qui prennent des médicaments contenant de l'éthinyl estradiol, comme certains contraceptifs oraux. Toutefois, toute personne prenant la combinaison ombitasvir - paritaprévir – ritonavir est susceptible de subir cette réaction. L'utilisation de médicaments contenant de l'éthinyl estradiol doit être arrêtée avant de commencer à prendre la combinaison ombitasvir - paritaprévir - ritonavir.

Réactivation de l'hépatite B : les personnes atteintes d'une infection latente par le virus de l'hépatite B peuvent subir une réactivation de l'infection provoquant plus de dysfonction hépatique ou une insuffisance hépatique. Si vous avez des antécédents d'infection par le virus de l'hépatite B, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Si vous observez la survenue de symptômes de troubles hépatiques comme de la fatigue, une sensation de malaise, une perte de l'appétit, de la nausée, le jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, une urine foncée, des selles claires, une douleur abdominale, ou une enflure et une démangeaison cutanée, prenez contact avec votre médecin immédiatement.

Grossesse : ce médicament ne devrait pas s'utiliser durant la grossesse à moins que les bienfaits priment les risques. Le traitement avec ce médicament nécessite la prise de ribavirine; il est démontré que ce dernier médicament est préjudiciable au bébé en développement s'il est pris par la mère pendant sa grossesse.  Si une grossesse advient pendant que vous utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement.

Allaitement : on ignore si les médicaments de la combinaison ombitasvir - ritonavir - paritaprévir sont transmis dans le lait maternel. Si vous prenez ce médicament pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement.

Enfants : ni l'innocuité ni l'efficacité de ce médicament n'a été établie en ce qui concerne les enfants.

D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament ?

Il pourrait se produire une interaction entre l'association ombitasvir - paritaprévir - ritonavir et l'un des agents ci-après :

  • l'acétate d'abiratérone;
  • les alcaloïdes de l'ergot de seigle (par ex. la dihydroergotamine, l'ergonovine, l'ergotamine, la méthylergonovine);
  • l'aliskirène;
  • l'alitrétinoïne;
  • les alphabloquants (par ex. l'alfuzosin, la doxazosine, la silodosine, la tamsulosine);
  • l'amiodarone;
  • les antagonistes du calcium (par ex. l'amlodipine, le diltiazem, la nifédipine, le vérapamil);
  • les antibiotiques macrolides (par ex. la clarithromycine, l'érythromycine);
  • les anticancéreux (par ex. le cabazitaxel, le docétaxel, la doxorubicine, l'etoposide, l'ifosfamide, l'irinotécan, la vincristine);
  • les antidépresseurs tricycliques (par ex. l'amitriptyline, la clomipramine, la désipramine, la trimipramine);
  • les antidiabétiques « gliptine » (par ex. la linagliptine, la saxagliptine, la sitagliptine);
  • les antifongiques dont le nom se termine en « azole » (par ex. l'itraconazole, le kétoconazole, le voriconazole);
  • les antipsychotiques (par ex. la chlorpromazine, la clozapine, l'halopéridol, l'olanzépine, la quétiapine, la rispéridone);
  • l'apixaban;
  • l'aprépitant;
  • les autres médicaments servant à éliminer le virus de l'hépatite C (par ex. le lédipasvir, le sofosbuvir);
  • les benzodiazépines (par ex. le chlordiazépoxide, le clonazépam, le diazépam, le lorazépam, le midazolam, le triazolam);
  • le bicalutamide;
  • le bosentan;
  • le brentuximab;
  • la brinzolamide;
  • la bromocriptine;
  • la buprénorphine;
  • le bupropion;
  • la buspirone;
  • la cabergoline;
  • le calcitriol;
  • la carbamazépine;
  • le carvédilol;
  • la cétirizine;
  • la chloroquine;
  • la colchicine;
  • le conivaptan;
  • les contraceptifs oraux;
  • les corticostéroïdes (par ex. le budésonide, la dexaméthasone, l'hydrocortisone, la prednisone);
  • les corticostéroïdes en inhalation (par ex. le budésonide, le ciclésonide, la fluticasone);
  • la cyclobenzaprine;
  • la cyclosporine;
  • le dabigatran;
  • le dantrolène;
  • la dapsone;
  • la darifénacine;
  • le déférasirox;
  • les dérivés nitrés (par ex. le dinitrate d'isosorbide, le mononitrate d'isosorbide, la nitroglycérine);
  • la digoxine;
  • le disopyramide;
  • la dofétilide;
  • le dompéridone;
  • la dronédarone;
  • le dutastéride;
  • l'édoxaban;
  • l'élétriptan;
  • l'enzalutamide;
  • l'éplérénone;
  • l'évérolimus;
  • la flécaïnide;
  • la flutamide;
  • la guanfacine;
  • les inhibiteurs de la phosphodiestérase-5 (par ex. le sildénafil, le tadalafil, le vardénafil);
  • les inhibiteurs de la pompe à protons (par ex. le lansoprazole, l'oméprazole);
  • les inhibiteurs de la protéase du VIH (par ex. l'atazanavir, l'indinavir, le ritonavir, le saquinavir);
  • les inhibiteurs des protéines kinases (par ex. le bosutinib, le dasatinib, l'imatinib);
  • les inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse du VIH (INNTIs; par ex. la delavirdine, l'éfavirenz, l'étravirine, la névirapine);
  • les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS, par ex. le citalopram, la duloxétine, la fluoxétine, la paroxétine, la sertraline);
  • l'ivacaftor;
  • l'ivermectin;
  • le jus de pamplemousse;
  • le lacosamide;
  • la lidocaïne;
  • le lomitapide;
  • le lopéramide;
  • le losartan;
  • le macitentan;
  • le maraviroc;
  • les médicaments de type « statine » pour traiter les niveaux élevés de cholestérol (par ex. l'atorvastatine, la lovastatine, la simvastatine);
  • la méfloquine;
  • la mexilétine;
  • la mifépristone;
  • le millepertuis;
  • la mirtazapine;
  • le modafinil;
  • le montélukast;
  • la nadolol;
  • le naloxégol;
  • les narcotiques analgésiques (par ex. le fentanyl, l'hydrocodone, la morphine, l'oxycodone);
  • le natéglinide;
  • la néfazodone;
  • la norfloxacine;
  • les œstrogènes (par ex. les œstrogènes conjugués, l'œstradiol, l'éthinylœstradiol);
  • l'ondansétron;
  • l'oxybutynine;
  • le pérampanel;
  • le phénobarbital;
  • la phénytoïne;
  • le pimécrolimus;
  • le pimozide;
  • le prasugrel;
  • le praziquantel;
  • la primaquine;
  • la primidone;
  • les progestatifs (par ex. le diénogest, le lévonorgestrel, la médroxyprogestérone, la noréthindrone);
  • le proguanil;
  • le prucalopride;
  • la quinidine;
  • la quinine;
  • la ranitidine;
  • le répaglinide;
  • la rifabutine;
  • la rifampine;
  • la rilpivirine;
  • le riociguat;
  • le rivaroxaban;
  • la romidepsine;
  • la rupatadine;
  • le salmétérol;
  • le siltuximab;
  • le sirolimus;
  • la solifénacine;
  • le stiripentol;
  • le tacrolimus;
  • le tamoxifène;
  • la théophylline;
  • le ticagrélor;
  • la ticlopidine;
  • le tocilizumab;
  • la toltérodine;
  • le tolvaptan;
  • le tramadol;
  • la trazodone;
  • le triméthoprime;
  • l'ulipristal;
  • la venlafaxine;
  • le zolpidem;
  • la zopiclone.

Si vous prenez l'un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien.

Dans votre cas, votre médecin pourrait vous demander de :

  • cesser la prise de l'un des médicaments;
  • remplacer l'un des médicaments par un autre;
  • modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux;
  • ne rien changer du tout.

L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses.

D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous prenez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments.

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