Comment ce médicament agit-il ? Quels sont ses effets ?
Il s'agit d'une association médicamenteuse qui contient 2 médicaments : le méthocarbamol et l'ibuprofène. Cette association médicamenteuse s'utilise pour soulager la douleur causée par les spasmes musculaires comme les foulures et les entorses, les maux de dos et les muscles tendus du cou.
Le méthocarbamol est un relaxant musculaire qui réduit les spasmes musculaires. L'ibuprofène est un médicament anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) qui atténue la douleur et l'inflammation.
Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations, ou les deux. Une marque spécifique de ce médicament n'est peut-être pas offerte sous toutes les formes ni avoir été approuvée contre toutes les affections dont il est question ici. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées contre toutes les affections mentionnées dans cet article.
Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d'information sur les médicaments. Si vous n'en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous prenez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable.
Ne donnez pas ce médicament à quiconque, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que les vôtres. Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n'a pas été recommandé par leur médecin.
Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il ?
Chaque comprimé en forme de caplet pelliculé bicouche, comportant une face blanche portant l'inscription « P449 » tracée en creux et une face grise lisse, contient 500 mg de méthocarbamol et 200 mg d'ibuprofène. Ingrédients non médicinaux : acide stéarique, AD et C bleu nº 2, amidon de maïs, amidon prégélatinisé, dioxyde de silice colloïdale, glycolate d'amidon sodique, hypromellose, laurylsulfate de sodium, oxyde de fer rouge, polyéthylèneglycol, povidone et stéarate de magnésium.
Comment doit-on employer ce médicament ?
La dose recommandée pour les adultes et les enfants de plus de 12 ans est de 1 ou 2 caplets toutes les 4 à 6 heures. Ne prenez pas plus de 6 caplets par 24 heures à moins que votre médecin vous ait autorisé à le faire. Si vos symptômes persistent pendant plus de 5 jours, vous devez consulter votre médecin. On doit utiliser la plus faible dose efficace de ce médicament pendant la plus courte durée possible.
Prenez ce médicament avec du lait ou d'autres aliments si vous subissez des maux d'estomac.
Plusieurs facteurs peuvent influencer la dose de médicament nécessaire, comme le poids corporel, les autres affections médicales et les autres médicaments utilisés. Si votre médecin vous a recommandé une autre dose que celles énumérées ici, ne modifiez pas votre façon de prendre le médicament sans consulter votre médecin.
Il importe que vous preniez ce médicament selon les directives exactes de votre médecin. S'il vous a dit de le prendre régulièrement et que vous omettez une dose, prenez-la dès que possible et continuez à suivre votre posologie habituelle. S'il est presque temps de prendre votre dose suivante, ne prenez pas la dose oubliée et continuez à suivre votre posologie habituelle. Ne prenez pas une double dose afin de compenser pour une dose omise. Si vous êtes incertain de la mesure à prendre après une dose omise, demandez les conseils de votre médecin ou votre pharmacien.
Conservez ce médicament à la température ambiante, à l'abri de la lumière et hors de la portée des enfants.
Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés.
Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé ?
L'association méthocarbamol - ibuprofène ne devrait pas s'utiliser dans les circonstances ci-après :
- une affection du foie évolutive ou une médiocre fonction hépatique;
- une affection inflammatoire évolutive gastrointestinale (estomac et intestin) (par ex. une diverticulose, une colite ulcéreuse, la maladie de Crohn);
- l'allaitement au sein;
- une allergie au méthocarbamol, à l'ibuprofène ou à l'un des ingrédients du médicament;
- une allergie aux autres médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens ou AINS (par ex. le naproxène, le kétoprofen, le diclofénac);
- de l'asthme, de l'anaphylaxie, de l'urticaire, une rhinite ou d'autres réactions allergiques causées par l'acide acétylsalicylique (AAS) ou d'autres médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens ou AINS (par ex. le naproxène, le kétoprofen, le diclofénac);
- une chirurgie cardiaque prévue ou récente;
- une élévation des taux de potassium;
- une fonction rénale médiocre ou qui empire;
- une grossesse confirmée ou soupçonnée;
- une personne âgée d'au moins 12 ans atteinte de maladie rénale accompagnée d'une perte importante de liquide (déshydratation) causée par des vomissements, de la diarrhée ou une ingestion insuffisante de liquides;
- des polypes nasaux;
- la présence d'un lupus érythémateux disséminé;
- la prise simultanée d'autres médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens ou AINS (par ex. le naproxène, le kétoprofen, le diclofénac);
- un ulcère d'estomac évolutif ou un ulcère duodénal ou des antécédents d'ulcères d'estomac ou duodénaux.
Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ?
Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent.
Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin.
Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps.
Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient :
- des brûlures d'estomac ou de l'indigestion;
- une constipation;
- de la diarrhée;
- une douleur gastrique ou des crampes;
- un état de nervosité;
- de la fatigue;
- de la nausée;
- une sensation de ballonnement ou des gaz;
- de la somnolence;
- des troubles du sommeil.
La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux.
Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste :
- une accentuation des symptômes de l'asthme;
- des anomalies du champ visuel;
- l'apparition ou l'aggravation des signes de dépression (comme une humeur triste, un désintérêt à l'égard de ce que vous aimiez, des fluctuations du poids, des troubles du sommeil, des sentiments de culpabilité ou de dévalorisation, des pensées suicidaires);
- un bourdonnement dans les oreilles;
- de la confusion;
- des étourdissements ou une sensation de tête légère;
- des fluctuations de l'appétit;
- une rétention d'eau, (par ex. des chevilles enflées);
- des signes attribuables à des problèmes hépatiques (du foie), par ex. :
- une douleur gastrique,
- le jaunissement de la peau ou du blanc des yeux,
- de la nausée,
- des selles claires,
- une urine sombre,
- des vomissements;
- des signes attribuables à des problèmes des voies urinaires, par ex. :
- une augmentation ou diminution importante et soudaine du volume d'urine,
- un changement dans la couleur ou l'odeur de l'urine,
- une douleur dans la vessie,
- une envie d'uriner fréquente,
- la perte du contrôle de la vessie,
- une sensation de cuisson, ou une émission d'urine douloureuse ou difficile,
- de l'urine sanglante ou trouble;
- des signes attribuables à un saignement (par ex. une tendance aux ecchymoses ou un saignement inhabituel, des saignements gingivaux (des gencives), le fait de saigner du nez sans raison);
- des signes d'une insuffisance cardiaque (par ex. un essoufflement, de la fatigue, une enflure des jambes, des chevilles ou des pieds);
- des troubles auditifs;
- une vision floue;
- des vomissements.
Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme :
- des signes attribuables à une réaction allergique importante, par ex. :
- des crampes abdominales,
- des difficultés respiratoires,
- une enflure du visage et de la gorge,
- de la nausée et des vomissements;
- des signes de problèmes cardiaques (par ex. des battements rapides et irréguliers, une douleur à la poitrine, de la difficulté à respirer);
- des signes de saignements de l'estomac (par ex. des selles sanglantes, noirâtres ou goudronneuses; des expectorations sanglantes; des vomissements de sang ou d'une matière qui ressemble à du marc de café);
- des signes d'un accident vasculaire cérébral (par ex. des maux de tête soudains ou intenses; une perte de coordination soudaine; des anomalies du champ visuel; un trouble de l'élocution soudain; ou l'apparition inexpliquée de faiblesse, d'engourdissements ou une douleur au niveau des bras ou des jambes);
- des signes d'une grave réaction cutanée, par ex. :
- une desquamation,
- une éruption cutanée s'accompagnant d'une fièvre ou d'une gêne,
- une éruption cutanée s'étendant rapidement,
- une éruption cutanée recouvrant une grande étendue du corps,
- la formation de cloques;
- des signes d'une méningite qui n'est pas d'origine infectieuse (par ex. des maux de tête caractérisés par une douleur intense ou battante, et s'accompagnant d'une raideur du cou raide ou du dos, une diminution du niveau de conscience);
Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament.
Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde ?
Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez, si vous êtes enceinte ou si vous allaitez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament.
Allergie : certaines personnes allergiques aux autres anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ou à l'AAS font aussi des réactions allergiques à l'ibuprofène. Avant de prendre le méthocarbamol - ibuprofène, signalez à votre médecin toute réaction indésirable que vous avez déjà eue lorsque vous preniez des médicaments, surtout les AINS. Les personnes ayant éprouvé de la difficulté à respirer après la prise d'AAS ou d'un autre AINS ne devraient pas prendre le méthocarbamol - ibuprofène.
Crise cardiaque et accident vasculaire cérébral : on a associé la prise de fortes doses d'ibuprofène pendant des périodes de temps prolongées à une augmentation de la fréquence des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux. Si vous avez déjà subi une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral ou si vous êtes prédisposé à ces maladies. Discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Estomac et intestin : l'ibuprofène peut causer des ulcères d'estomac et duodénaux ainsi que des saignements. Vous courez probablement un risque accru d'avoir ces problèmes si vous avez des antécédents d'ulcère d'estomac ou duodénal, si vous fumez, si vous buvez une quantité immodérée d'alcool, si vous êtes une personne âgée ou une femme, si vous prenez aussi des stéroïdes oraux (par ex. la prednisone) ou des anticoagulants (par ex. la warfarine). Cessez de prendre ce médicament et prenez contact avec votre médecin immédiatement si vous avez des brûlures d'estomac persistantes, une douleur gastrique, du vomi qui ressemble à du marc de café, ou des selles noirâtres, goudronneuses ou sanguinolentes.
Fonction rénale : la prise de produits contenant de l'ibuprofène pendant une longue période pourrait augmenter le risque d'un affaiblissement de la fonction rénale. Ce risque s'en trouve augmenté pour les personnes qui ont déjà une maladie du rein, une maladie du foie ou une insuffisance cardiaque, ou qui prennent d'autres médicaments (par ex. des bêta-bloquants, des inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ECA), des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, la cyclosporine, ou certains diurétiques (pilules pour éliminer de l'eau), ainsi que pour les personnes âgées. Votre médecin surveillera votre fonction rénale à l'aide de tests durant votre traitement prolongé par l'ibuprofène.
Infection : ce médicament peut dissimuler les signes d'une infection. Si vous subissez des symptômes attribuables à une infection (par ex. de la fièvre ou de la douleur à la gorge), communiquez au plus tôt avec votre médecin.
Lupus érythémateux disséminé : les personnes atteintes de lupus érythémateux disséminé semblent plus à risque de subir des réactions indésirables importantes à l'ibuprofène, notamment de l'anaphylaxie. Ce médicament est déconseillé aux personnes atteintes de lupus érythémateux disséminé.
Méningite aseptique : quelques médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) comme l'ibuprofène, peuvent causer des symptômes de méningite aseptique (par ex. un cou raide, de graves maux de tête, de la nausée, des vomissements, une fièvre ou des troubles de la vigilance). Si vous observez ces symptômes, prenez contact avec votre médecin immédiatement.
Les personnes atteintes d'une affection auto-immune comme le lupus ou la connectivité mixte, courent un plus grand risque de subir ces symptômes. Si vous avez une affection auto-immune, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Pression artérielle : l'ibuprofène pourrait entraîner une hausse de la tension artérielle, même chez les personnes n'ayant jamais eu de problèmes de pression artérielle. en cas de pression artérielle élevée, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique. Signalez à votre médecin au plus tôt toute montée continue de votre pression artérielle.
Problèmes de vessie : les AINS comme l'ibuprofène peut causer des problèmes de vessie. Cessez de prendre ce médicament et communiquez avec votre médecin si vous ressentez une douleur à la vessie, si vous avez de la difficulté à uriner, de fréquentes émissions de l'urine ou du sang dans l'urine.
Problèmes du foie : les AINS, comme l'ibuprofène, peuvent entraîner une diminution de la fonction hépatique ou aggraver les troubles du foie existants. Si votre fonction hépatique est réduite ou si vous êtes atteint d'une maladie hépatique, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Si vous ressentez de la nausée, si vous avez des vomissements, une douleur gastrique, un jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, des selles claires, une urine sombre, cessez de prendre ce médicament et communiquez avec votre médecin. Si vous prenez ce médicament pour une longue période, votre médecin surveillera votre fonction hépatique.
Rétention d'eau et élévation du taux de potassium : les AINS comme ibuprofène peut causer une rétention d'eau, et une élévation du taux de potassium sanguin. Si vous avez des antécédents d'insuffisance cardiaque, de haute pression, de diabète ou d'insuffisance rénale, vous êtes aîné ou vous prenez aussi des bêta-bloquants (par ex. l'aténolol, le métoprolol) ou des inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ECA) (par ex. le ramipril, l'énalapril, le lisinopril), discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Somnolence ou vigilance réduite : ce médicament peut entraîner une somnolence. Ne conduisez pas de véhicule, ne faites pas fonctionner de la machinerie et n'effectuez pas d'autres tâches possiblement dangereuses avant d'avoir établi comment ce médicament agit sur vous.
Troubles liés aux saignements : la prise d'AINS, comme l'ibuprofène, pourrait accroître la fréquence des ecchymoses (bleus) et, dans le cas d'une coupure, le saignement pourrait durer plus longtemps. Si vous avez des troubles de saignement, des antécédents de problèmes de saignement, ou si vous employez des médicaments qui freinent la coagulation, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.
Vision floue : si vous ressentez une vision floue, pendant que vous prenez ce médicament, arrêter de le prendre et communiquez avec votre médecin.
Grossesse : on ne dispose pas suffisamment d'information pour déterminer si la prise du méthocarbamol - ibuprofène est sans danger durant la grossesse. On doit pas utiliser ce médicament pendant la grossesse à moins que les avantages priment sur les risques et on doit éviter de le prendre au cours du dernier trimestre de la grossesse (après 28 semaines de grossesse). Si une grossesse advient pendant que vous utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement.
Si l'ibuprofène est pris pendant les stades plus précoces de la grossesse, le risque d'avortement spontané est augmenté. L'utilisation de l'ibuprofène à compter de la 20e semaine de grossesse peut augmenter le risque de lésions rénales et de complications secondaires à la présence de faibles volumes de liquide amniotique pour le bébé en développement. Comme avec tout autre AINS, l'utilisation de l'ibuprofène à la fin de la grossesse peut provoquer une prolongation du travail.
Allaitement : le méthocarbamol passe dans le lait maternel. On ignore si l'ibuprofène passe dans le lait maternel. Si vous prenez ce médicament pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement.
Enfants : ni l'innocuité ni l'efficacité de ce médicament n'a été établie en ce qui concerne les enfants âgés de moins de 12 ans.
Aînés : les aînés sont plus susceptibles de subir les effets secondaires de ce médicament et il serait probablement préférable qu'ils prennent de plus faibles doses.
D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament ?
Pour obtenir une liste complète d'interactions médicamenteuses, utilisez le « Drug Interaction Checker » (disponible en anglais seulement) sur le site Web de Drugs.com.
Si vous prenez d'autres médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin pourrait vous demander de :
- cesser la prise de l'un des médicaments;
- remplacer l'un des médicaments par un autre;
- modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux;
- ne rien changer du tout.
L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses.
Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous absorbez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments.
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