Comment ce médicament agit-il ? Quels sont ses effets ?

L'hydrocodone appartient à la famille des médicaments antitussifs (qui suppriment la toux). Ce médicament est utilisé pour calmer la toux épuisante et non productive (sans expectoration). Elle agit sur le cerveau pour diminuer le besoin de tousser. L'hydrocodone appartient à la famille des narcotiques et peut donc entraîner une dépendance lors d'un usage prolongé.

Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d'information sur les médicaments. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées pour tous les troubles mentionnés dans cet article. Si vous n'en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous prenez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable.

Ne donnez pas ce médicament à quiconque, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que les vôtres. Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n'a pas été prescrit.

Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il ?

Sirop
Chaque mL de sirop rouge aromatisé à la cerise contient 1 mg de bitartrate d'hydrocodone. Ingrédients non médicinaux : saveur artificielle de cerise, couleur de caramel, FD & C rouge nº 2 sur substrat d'aluminium, méthylparaben, propylparaben, eau purifiée, sorbitol et sucrose.

Comment doit-on employer ce médicament ?

Nota : la toux est un symptôme. Avant de prendre un antitussif, il importe d'évaluer la cause sous-jacente de la toux.

Adultes : la dose recommandée d'hydrocodone pour les adultes et les enfants de plus de 12 ans est de 5 mg (1 cuillère à thé [5 mL] ou 1 comprimé) à intervalles d'au moins 4 heures, après les repas et au coucher avec de la nourriture ou un verre de lait. Ne pas excéder 30 mg (6 doses) en une période de 24 heures. La dose maximale que les adultes peuvent prendre en une seule fois est de 15 mg (3 comprimés ou 15 mL).

La dose maximale que les enfants de plus de 12 ans peuvent prendre en une seule fois est de 10 mg (2 comprimés ou 10 mL).

Enfants (6 à 12 ans) : La dose recommandée est de 2,5 mg (une demi-cuillerée à thé [2,5 mL] ou un demi-comprimé) après les repas et au moment du coucher avec des aliments ou un verre de lait, à au moins 4 heures d'intervalle. Ne pas dépasser 15 mg (6 doses) par 24 heures. La dose unique maximale est de 5 mg (1 comprimé ou 5 mL).

Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière d'utiliser le médicament sans le consulter au préalable.

Il est important d'utiliser ce médicament conformément aux indications de votre médecin. Si votre médecin vous a dit de prendre ce médicament régulièrement et que vous oubliez une dose, prenez le médicament dès que vous constatez l'omission et reprenez la suite du traitement aussitôt que possible. S'il est presque temps de votre prochaine dose, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N'utilisez pas une double dose pour compenser l'omission d'une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien.

Conservez ce médicament à la température ambiante, à l'abri de la lumière et de l'humidité et hors de la portée des enfants.

Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés.

Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé ?

Abstenez-vous d'employer l'hydrocodone dans les circonstances ci-après :

  • une allergie à l'hydrocodone ou à l'un des ingrédients du médicament ;
  • une allergie à tout autre médicament de type opioïde (par ex. la morphine, la codéine) ;
  • une difficulté respiratoire ;
  • une lésion intracrânienne (dans la tête) associée à une augmentation de la tension intracrânienne.

Ne donnez pas ce médicament aux enfants âgés de moins de 6 ans.

Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ?

Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent.

Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin.

Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps.

Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient :

  • un assoupissement;
  • une constipation (plus fréquente lors d'un usage prolongé);
  • des étourdissements;
  • une fatigue ou une faiblesse inaccoutumée;
  • un faux sentiment de bien-être;
  • de la nausée;
  • une pression artérielle élevée;
  • une sécheresse de la bouche;
  • une sensation de faiblesse et d’étourdissement en passant des positions assise ou couchée à la position debout
  • une vision floue;
  • des vomissements.

La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux.

Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste :

  • des battements cardiaques lents, rapides ou forts;
  • des changements d'humeur ou de l'instabilité mentale;
  • de la difficulté à uriner;
  • un essoufflement, une respiration sifflante ou difficile;
  • une respiration irrégulière;
  • un sentiment d’anxiété, de peur ou d’irréalité.

Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme :

  • des signes de réaction allergique importante, par ex. :
    • des crampes abdominales;
    • une difficulté respiratoire;
    • des nausées et des vomissements;
    • une boursouflure du visage et une enflure de la gorge;
  • des signes de surdose, par ex. :
    • des battements cardiaques lents;
    • de la confusion,
    • des convulsions (crises d'épilepsie);
    • une diminution extrême du diamètre de la pupille;
    • des étourdissements (graves);
    • de la faiblesse (grave);
    • une nervosité ou agitation (grave);
    • une peau moite et froide;
    • une pression artérielle basse;
    • une respiration lente ou difficile;
    • de la somnolence (grave).

Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament.

Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde ?

Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament.

AVIS DE SANTÉ CANADA

24 août 2020

Santé Canada a émis de nouvelles mises en garde concernant l'emploi de la codéine sur ordonnance. Pour lire dans son intégralité l'avis de Santé Canada, rendez-vous vers le site Web de Santé Canada à l'adresse www.hc-sc.gc.ca.

D'autres avis avaient également été émis le 18 février 2019 et le 28 juillet 2016 au sujet de la codéine sur ordonnance.

Affections abdominales : l'hydrocodone, comme les autres médicaments narcotiques, est susceptible de rendre le diagnostic de certaines affections abdominales plus difficile ou d'aggraver ces affections. Si vous avez des problèmes abdominaux, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Respiration : l’hydrocodone peut déprimer la respiration. Les enfants sont plus susceptibles de subir des problèmes respiratoires importants, et même de mourir à la suite de l'utilisation de ce médicament. On ne doit donc pas donner ce médicament à des enfants de moins de 6 ans. Si vous êtes prédisposé à subir des difficultés respiratoires – si vous êtes atteint d’asthme, par exemple – discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Constipation : l’hydrocodone peut provoquer une constipation très importante. Le fait de suivre un régime alimentaire riche en fibres et d’avoir de bonnes habitudes de selles aidera à minimiser cet effet. Si vous subissez facilement de la constipation ou si vous êtes atteint de constipation chronique, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Dépendance et sevrage: ce médicament contient de l’hydrocodone. Des cas de dépendance physique et psychologique et d’abus de l’hydrocodone ont été signalés lors de l’utilisation de ce médicament. Les personnes qui possèdent des antécédents de problèmes d’abus de substances et celles qui subissent activement de tels problèmes actuellement sont susceptibles d’abuser de ce médicament ou d’en devenir dépendantes. L’abus de médicaments ne représente pas un problème pour les personnes qui ont besoin de ce médicament pour soulager une douleur importante. Si vous cessez subitement de prendre ce médicament, vous pourriez ressentir des symptômes de sevrage comme de l’anxiété, de la sudation excessive, des troubles du sommeil, des frissons, de la douleur, de la nausée, des tremblements, de la diarrhée et des hallucinations. Si vous prenez ce médicament depuis un certain temps, vous ne devriez cesser de le prendre que graduellement selon les directives de votre médecin.

Somnolence ou vigilance réduite : l’hydrocodone peut causer de la somnolence. Ne conduisez pas de véhicule, ne manœuvrez pas de machinerie et n'accomplissez pas de tâches possiblement dangereuses avant de savoir comment ce médicament agit sur vous.

Traumatisme crânien : les personnes qui ont subi un traumatisme crânien ou qui ont une élévation de leur pression intracrânienne peuvent courir un risque accru de subir des effets secondaires (problèmes respiratoires) ou une aggravation de leur état pendant qu’elles prennent ce médicament. Discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l'influence de votre affection sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Autres troubles médicaux : les personnes qui doivent subir une intervention chirurgicale aux voies biliaires doivent faire preuve de prudence pendant qu’elles prennent de l’hydrocodone car ce médicament peut aggraver leur affection. L’hydrocodone aggrave les effets d’une intoxication aiguë à l’alcool et du delirium tremens.

Sédation par d’autres médicaments : comme les effets sédatifs de ce médicament sont cumulatifs à ceux des autres médicaments sédatifs, évitez de boire de l’alcool ou de prendre des somnifères, des sédatifs, des agents psychothérapeutiques ou tout autre médicament possédant des effets sédatifs pendant que vous prenez ce médicament. Avisez votre médecin de tous les médicaments que vous prenez.

Grossesse : ce médicament ne devrait pas s'utiliser durant la grossesse à moins que les bienfaits priment les risques. L’hydrocodone traverse à l’intérieur du placenta et peut ainsi nuire au développement du bébé. Les bébés nés de mères qui ont pris régulièrement ce médicament avant l'accouchement auront probablement une dépendance physique au médicament. Les signes de sevrage comprennent une irritabilité et des pleurs excessifs, des tremblements, des réflexes hyperactifs, une augmentation de la fréquence respiratoire, une augmentation du volume des selles, des éternuements, des bâillements, des vomissements et de la fièvre.

Allaitement : on ne sait pas si l'hydrocodone est excrétée dans le lait maternel. Si vous prenez ce médicament pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement.

Enfants : les enfants courent un risque accru de subir des effets secondaires importants comme des problèmes respiratoires. On ne doit donner ce médicament qu’à des enfants d’âge plus avancé et si les avantages priment sur les risques. On recommande de ne pas utiliser ce médicament pour les enfants de moins de 6 ans.

D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament ?

Il pourrait se produire une interaction entre l'hydrocodone et l'un des agents ci-après : 

  • l'abiratérone;
  • l'aclidinium;
  • les alcaloïdes de l'ergot de seigle (par ex. l'ergotamine, la dihydroergotamine, le disopyramide);
  • l'alcool;
  • l'amiodarone;
  • les amphétamines (par ex. la dextroamphétamine, la lisdexamfétamine);
  • les anesthésiques généraux (les médicaments utilisés pour provoquer un sommeil profond avant une intervention chirurgicale);
  • les antagonistes du calcium (par ex. l'amlodipine, le diltiazem, la nifédipine, le vérapamil);
  • les antibiotiques macrolides (par ex. la clarithromycine, l'érythromycine);
  • les antidépresseurs tricycliques (par ex. la clomipramine, la désipramine, l'imipramine);
  • les antifongiques dont le nom se termine en « azole » (par ex. l'itraconazole, le kétoconazole, le voriconazole);
  • les antihistaminiques (par ex. la cétirizine, la doxylamine, la diphenhydramine, l'hydroxyzine, la loratadine);
  • les antipsychotiques (par ex. la chlorpromazine, la clozapine, l'halopéridol, l'olanzapine, la quétiapine, la rispéridone);
  • l'aprépitant;
  • l'asunaprévir;
  • l'atorvastatine;
  • l'atropine;
  • d'autres analgésiques narcotiques (par ex. la codéine, le fentanyl, la morphine, l'oxycodone);
  • l'azélastine;
  • les barbituriques (par ex. le butalbital, le pentobarbital, le phénobarbital);
  • la belladone;
  • les benzodiazépines (par ex. l'alprazolam, le diazépam, le lorazépam);
  • la benztropine;
  • le bicalutamide;
  • le bocéprévir;
  • le bosentan;
  • la bromocriptine;
  • la buspirone;
  • le cannabis;
  • la carbamazépine;
  • le ceritinib;
  • la cimétidine;
  • le cinacalcet;
  • la ciprofloxacine;
  • la cocaïne;
  • les combinaisons de médicaments antiviraux servant au traitement de l’hépatite C (par ex. la combinaison ombitasvir – paritaprévir – ritonavir - dasabuvir, la combinaison ombitasvir – paritaprévir - ritonavir);
  • le conivaptan;
  • le crizotinib;
  • la cyclosporine;
  • le dabrafénib;
  • le danazol;
  • le dasatinib;
  • le déférasirox;
  • la desmopressine;
  • le dextrométhorphane;
  • les diurétiques (pilules pour éliminer l’eau; par ex. le furosémide, l'hydrochlorothiazide, le triamtérène);
  • la dronabinol;
  • le dropéridol;
  • l'enzalutamide;
  • le flavoxate;
  • le ginkgo biloba;
  • le glycopyrrolate;
  • l'hydraste du Canada;
  • l'hydrate de chloral;
  • l'imatinib;
  • les inhibiteurs de la monoamine-oxydase (IMAO; par ex. le moclobémide, la rasagiline, la sélégiline, la tranylcypromine);
  • les inhibiteurs de la protéase du VIH (par ex. l’atazanavir, l'indinavir, le ritonavir, le saquinavir);
  • les inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse du VIH (INNTIs; par ex. la delavirdine, l'éfavirenz, l'étravirine, la névirapine);
  • les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS, par ex. le citalopram, la duloxétine, la fluoxétine, la paroxétine, la sertraline);
  • les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine-noradrénaline ou ISRN (par ex. la desvenlafaxine, la duloxétine, la venlafaxine);
  • l'ipratropium;
  • l'isoniazide;
  • le jus de pamplemousse;
  • le kétotifène;
  • le lapatinib;
  • le lithium;
  • le lomitapide;
  • les médicaments antiépileptiques (par ex. le clobazam, l'éthosuximide, le felbamate, le lévétiracétam, le phénobarbital, la phénytoïne, la primidone, le topiramate, l'acide valproïque, le zonisamide);
  • les médicaments antimigraineux de la classe des « triptans » (par ex. l'almotriptan, l'élétriptan, le sumatriptan);
  • le métronidazole;
  • la mifépristone;
  • le millepertuis;
  • la mirtazapine;
  • le mitotane;
  • le modafinil;
  • le nabilone;
  • la naltrexone;
  • la néfazodone;
  • la norfloxacine;
  • l'octreotide;
  • l'oxcarbazépine;
  • l'oxybutynine;
  • le pazopanib;
  • le pegvisomant;
  • le pérampanel;
  • la phénytoïne;
  • le pramipexole;
  • la primidone;
  • la quinidine;
  • la réglisse;
  • les relaxants musculaires (par ex. le baclofène, la cyclobenzaprine, le méthocarbamol, l'orphénadrine);
  • le ropinirole;
  • le rufinamide;
  • la scopolamine;
  • le siltuximab;
  • le siméprévir;
  • le sulfate de magnésium;
  • la terbinafine;
  • la tétracycline;
  • le tétrahydrocannabinol ou THC;
  • le ticagrélor;
  • le tiotropium;
  • le tocilizumab;
  • la toltérodine;
  • la trazodone;
  • le tryptophane;
  • l'uméclidinium;
  • le vémurafénib;
  • le zolpidem;
  • la zopiclone.

Si vous prenez l'un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin peut vous demander de :

  • cesser la prise de l'un des médicaments,
  • remplacer l'un des médicaments par un autre,
  • modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux,
  • ne rien changer du tout.

L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses.

D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous absorbez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments.

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