Comment ce médicament agit-il ? Quels sont ses effets ?

Ce produit composite contient 3 médicaments : l'acide acétylsalicylique, le méthocarbamol et la codéine.

L'acide acétylsalicylique (l'AAS) appartient au groupe de médicaments appelés analgésiques (les médicaments antidouleur), anti-inflammatoires et antipyrétiques (les médicaments qui abaissent une fièvre).

Le méthocarbamol appartient au groupe de médicaments appelés relaxants musculaires.

La codéine appartient au groupe de médicaments appelés narcotiques analgésiques.

L'association AAS - méthocarbamol - codéine s'utilise pour soulager la douleur (modérée) liée aux spasmes musculaires, aux entorses et foulures, aux lombalgies, tendinites et à la douleur musculaire résultant de blessure.

Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d'information sur les médicaments. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées pour tous les troubles mentionnés dans cet article. Si vous n'en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous prenez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable.

Ne donnez pas ce médicament à quiconque, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que les vôtres. Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n'a pas été prescrit.

Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il ?

C 1/8
Chaque caplet oblong, jaune et blanc, avec de potentielles taches jaunes sur la partie blanche, gravé « rph » sur un côté et portant une barre de cassure sur l'autre, contient 400 mg de méthocarbamol, 325 mg d'AAS et 8 mg de phosphate de codéine. Ingrédients non médicinaux : acide stéarique, laque d'aluminium AD et C jaune nº 6, cellulose microcristalline, croscarmellose sodique, laque d'aluminium D et C jaune nº 10, povidone et siméthicone.

C 1/4
Chaque caplet oblong, orange et blanc, avec de potentielles taches oranges sur la partie blanche, gravé « rph » sur un côté et portant une barre de cassure sur l'autre, contient 400 mg de méthocarbamol, 325 mg d'AAS et 16,2 mg de phosphate de codéine. Ingrédients non médicinaux : acide stéarique, cellulose microcristalline, croscarmellose sodique, laque d'aluminium D et C jaune nº 10, laque d'aluminium D et C rouge nº 30, povidone et siméthicone.

C 1/2
Chaque caplet oblong, pêche et blanc, avec de potentielles taches pêches sur la partie blanche, gravé « rph » sur un côté et portant une barre de cassure sur l'autre côté, contient 400 mg de méthocarbamol, 325 mg d'AAS et 32,4 mg de phosphate de codéine. Ingrédients non médicinaux : acide stéarique, laque d'aluminium AD et C jaune nº 6, cellulose microcristalline, croscarmellose sodique, povidone et siméthicone.

Comment doit-on employer ce médicament ?

La dose usuelle pour l'adulte est 1 ou 2 comprimés pris 3 ou 4 fois par jour. Ne pas prendre plus de 8 caplets en 24 heures. Limiter l'utilisation de ce médicament à la dose effective la plus faible et durant la période de temps la plus courte possible.

Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière de prendre le médicament sans le consulter au préalable.

Ce médicament peut engendrer un état de dépendance en cas de traitement à long terme. Il peut susciter un usage abusif et il ne devrait être pris qu'au besoin contre la douleur sauf avis contraire de votre médecin.

Il est important d'utiliser ce médicament conformément aux indications de votre médecin. Si votre médecin vous a dit de prendre ce médicament régulièrement et que vous oubliez une dose, prenez le médicament dès que vous constatez l'omission et reprenez la suite du traitement aussitôt que possible. S'il est presque temps de votre prochaine dose, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N'utilisez pas une double dose pour compenser l'omission d'une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien.

Conservez ce médicament à la température ambiante, à l'abri de la lumière et de l'humidité et hors de la portée des enfants.

Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations, ou les deux. Une marque de ce médicament pourrait ne pas être disponible sous toutes les présentations énumérées ici. Vous trouverez les diverses présentations sous lesquelles cette marque particulière est mise à votre disposition dans la section : « Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il ? »

Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés.

Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé ?

L'association médicamenteuse AAS - méthocarbamol - codéine ne devrait pas s'employer dans les circonstances ci-après :

  • une allergie à l'AAS, au méthocarbamol, à la codéine ou à l'un des ingrédients du médicament ;
  • une allergie aux narcotiques de type codéine;
  • des antécédents de réactions accompagnées de bronchospasmes (réactions semblables à l'asthme sévère), d'urticaire généralisé, de démangeaisons et d'écoulements nasaux importants, ou de choc provoquées par l'AAS ou d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens;
  • des convulsions;
  • un risque de blocage intestinal;
  • un traumatisme crânien ou une augmentation de la pression intracrânienne;
  • un ulcère gastrique ou duodénal évolutif.

Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ?

Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent. Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin.

Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps.

Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient :

  • de la diarrhée;
  • des étourdissements;
  • des maux de tête;
  • de la nausée;
  • de la somnolence;
  • une sécheresse de la bouche;
  • une sensation de tête légère;
  • des vomissements.

La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux.

Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste :

  • de la constipation;
  • une douleur abdominale;
  • l'impression de s'évanouir;
  • des signes d'une altération de la fonction rénale (une émission de l'urine difficile ou douloureuse, un besoin d'uriner fréquent, une baisse de la production d'urine);
  • des signes d'une réaction allergique (par ex. une éruption cutanée, de l'urticaire ou une démangeaison);
  • des signes de saignement inaccoutumé (par ex. des selles goudronneuses, sanglantes ou noires, des vomissements de sang ou d'une matière qui ressemble à du marc de café, un saignement inaccoutumé ou des ecchymoses, des saignements de nez);
  • des signes de troubles hépatiques (par ex. de la nausée, des vomissements, de la diarrhée, une perte de l'appétit, une perte de poids, jaunissement de la peau ou blanc des yeux, une urine sombre, des selles claires);
  • une perte d'acuité auditive;
  • un tintement dans les oreilles.

Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme :

  • des signes d'une grave réaction allergique (par ex. des crampes abdominales, une difficulté respiratoire, de la nausée et des vomissements ou une boursouflure du visage et une enflure de la gorge) ;
  • des signes d'une grave réaction cutanée (comme des cloques, une desquamation, une éruption cutanée recouvrant une grande région du corps, une éruption cutanée qui s'étend rapidement ou une éruption cutanée accompagnée d'une fièvre ou d'une gêne) ;
  • des signes de problèmes respiratoires caractérisés par une respiration superficielle et irrégulière, ou une respiration ralentie ou difficile ;
  • des symptômes de surdose de codéine (par ex. la peau moite et froide, une respiration anormalement lente ou faible, de graves étourdissements, de la confusion, un ralentissement du rythme cardiaque ou une somnolence extrême).

Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament.

Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde ?

Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament.

AVIS DE SANTÉ CANADA

8 juin 2021

Santé Canada a émis de nouvelles mises en garde concernant l'emploi d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Pour lire dans son intégralité l'avis de Santé Canada, rendez-vous vers le site Web de Santé Canada à l'adresse www.hc-sc.gc.ca.

D'autres avis avaient également été émis au sujet de l'emploi d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) le 31 juillet 2020.

Autres troubles médicaux : ce médicament peut avoir un effet sur d'autres conditions médicales. La codéine peut aggraver les symptômes de delirium tremens et d'intoxication alcoolique aiguë. 

Ce médicament peut également aggraver des symptômes d'hypothyroïdie, de la maladie d'Addison, d'une hypertrophie bénigne de la prostate (une augmentation du volume de la prostate), d'un rétrécissement de l'urètre, de troubles hémorragiques, d'ulcère gastrique, d'une insuffisance surrénalienne ou de porphyrie. Les personnes ayant l'une de ces conditions devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur état pathologique, comment leur état pathologique pourrait influer sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Chirurgie : cessez de prendre ce médicament 5 à 7 jours avant toute intervention chirurgicale, y compris une chirurgie dentaire, à moins que votre médecin ou votre dentiste soit d'avis contraire. Si vous devez subir une intervention chirurgicale, signalez à tous vos médecins que vous prenez ce médicament.

Consommation d'alcool : la consommation d'alcool n'est pas conseillée lors de la prise d'AAS - méthocarbamol – codéine.

Constipation : la codéine peut entraîner une forte constipation. Une alimentation riche en fibres et un bon transit intestinal aideront à minimiser cet effet. Les personnes qui ont une tendance à la constipation devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur affection, comment leur affection pourrait influer sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Dépendance et sevrage : ce médicament contient de la codéine. Des phénomènes de dépendance physique et psychique ainsi que des abus se sont produits durant l'emploi de la codéine. Les personnes qui ont eu, ou qui ont, des problèmes liés à la consommation d'alcool et de drogues pourraient courir un risque accru de mésusage ou d'accoutumance pendant qu'elles emploient ce médicament. Un emploi abusif n'est pas un problème que connaissent les personnes qui ont besoin de ce médicament pour le soulagement de la douleur.

Des symptômes de sevrage pourraient survenir si la prise du médicament est soudainement interrompue comme de l'anxiété, de la sudation, des troubles du sommeil, un secouement, de la douleur, de la nausée, des tremblements, de la diarrhée et des hallucinations. Si vous prenez ce médicament depuis longtemps, vous devriez vous conformer aux instructions de votre médecin pour cesser d'utiliser le médicament progressivement.

Fonction hépatique : les personnes atteintes d'une maladie du foie ou dont la fonction hépatique est diminuée devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur affection, comment leur affection pourrait influer sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Fonction rénale : l'utilisation de l'association médicamenteuse AAS - méthocarbamol - codéine pendant une longue durée peut accroître le risque de maladie rénale. Les personnes atteintes d'une maladie rénale ou dont la fonction rénale est diminuée devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur affection, comment leur affection pourrait influer sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Respiration : la codéine peut causer un arrêt respiratoire. Les enfants courent plus de risques d'avoir d'importantes difficultés respiratoires pouvant parfois être fatales. C'est pour cela que ce médicament ne devrait pas être donné aux personnes de moins de 12 ans. Les personnes qui présentent des facteurs de risque de difficultés respiratoires comme l'asthme devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur affection, comment leur affection pourrait influer sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Somnolence ou vigilance réduite : ce médicament peut causer de la somnolence. Évitez de conduire, de faire fonctionner des machines ou d'accomplir d'autres tâches potentiellement dangereuses jusqu'au moment où vous aurez déterminé l'effet de ce médicament sur vos capacités de réaction.

Traumatisme crânien : les personnes souffrant d'un traumatisme crânien ou d'une pression intracrânienne accrue courent un risque accru d'effets secondaires (troubles respiratoires) ou d'aggravation de leur trouble pendant qu'elles prennent ce médicament. Elles devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur état pathologique, comment leur état pathologique pourrait influer sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Troubles abdominaux : la codéine, comme les autres médicaments narcotiques, peut rendre le diagnostic de troubles abdominaux plus difficile ou aggraver ces troubles. Les personnes atteintes de troubles abdominaux comme une maladie inflammatoire ou obstructive de l'intestin, une cholécystite aiguë ou une pancréatite ou les personnes ayant prévu de faire une chirurgie abdominale devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur affection, comment leur affection pourrait influer sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Grossesse : ce médicament ne devrait pas s'utiliser durant la grossesse à moins que les bienfaits priment les risques. Si une grossesse advient pendant que vous utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement.

Allaitement : la codéine passe dans le lait maternel. Une partie de la codéine est transformée en morphine par le corps. Pour certaines personnes, ce processus se produit plus rapidement que pour d'autres. Dans le cas d'une mère qui allaite, le bébé court le risque d'une surdose de morphine par le biais du lait maternel.

Si vous employez l'association AAS - méthocarbamol - codéine pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement.

Enfants : les enfants sont plus susceptibles d'expérimenter les effets nocifs associés à la prise de codéine. Ne donnez pas à un enfant de moins de 12 ans l'association AAS - méthocarbamol – codéine.

La prise d'AAS a été associée au syndrome de Reye chez des enfants et adolescents atteints d'affections accompagnées de fièvre, en particulier la grippe et la varicelle. L'AAS ne devrait pas être donné à des enfants ou des adolescents qui ont la varicelle ou des symptômes de la grippe, sans avis médical.

Aînés : les aînés peuvent être plus sensibles aux effets nocifs de l'AAS.

D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament ?

Il pourrait se produire une interaction entre l'association médicamenteuse AAS - méthocarbamol - codéine et l'un des agents ci-après :

  • l'acétate d'abiratérone
  • l'acétazolamide
  • les acides gras oméga
  • l'aclidinium
  • les alcaloïdes de l'ergot de seigle (par ex. l'ergotamine, la dihydroergotamine);
  • l'alcool
  • l'alendronate
  • l'altéplase
  • l'amiodarone
  • les amphétamines (par ex. la dextroamphétamine, la lisdexamfétamine);
  • les anesthésiques généraux (les médicaments utilisés pour provoquer un sommeil profond avant une intervention chirurgicale);
  • les antagonistes du calcium (par ex. le diltiazem, la nifédipine, le vérapamil);
  • les antibiotiques fluoroquinolones (par ex. la ciprofloxacine, la norfloxacine, la moxifloxacine) ;
  • les antidépresseurs tricycliques (par ex. l'amitriptyline, la désipramine, l'imipramine);
  • les antidiabétiques (par ex. le chlorpropamide, le glipizide, le glyburide, l'insuline, la metformine, le natéglinide, la rosiglitazone);
  • les antihistaminiques (par ex. la cétirizine, le dimenhydrinate, la diphenhydramine, l'hydroxyzine);
  • des anti-inflammatoires non stéroïdiens ou AINS (par ex. le diclofénac, l'ibuprofène, le kétorolac, le naproxène);
  • les antipsychotiques (par ex. l'halopéridol, la quétiapine, l'olanzapine, la rispéridone);
  • l'apixaban;
  • l'atropine;
  • d'autres médicaments contenant de l'acide acétylsalicylique (AAS)
  • d'autres relaxants musculaires (par ex. le baclofène, la cyclobenzaprine, l'orphénadrine);
  • d'autres narcotiques analgésiques (par ex. la codéine, le fentanyl, la morphine, l'oxycodone);
  • l'azélastine;
  • les barbituriques (par ex. le butalbital, le phénobarbital, le sécobarbital);
  • la belladone;
  • les benzodiazépines (par ex. l'alprazolam, le diazépam, le lorazépam);
  • la benztropine;
  • la brimonidine;
  • le brinzolamide
  • la bromocriptine;
  • la buprénorphine;
  • le bupropion;
  • la buspirone;
  • le cannabis;
  • le célécoxib;
  • la chloroquine;
  • le cinacalcet;
  • le clopidogrel;
  • les corticostéroïdes (par ex. la dexaméthasone, la prednisone, la méthylprednisolone);
  • le dabigatran;
  • le dasatinib;
  • la delavirdine;
  • la desmopressine;
  • le dextrométhorphane;
  • le dipyridamole;
  • le disopyramide;
  • les diurétiques (pilules pour éliminer l'eau; par ex. le furosémide, l'hydrochlorothiazide, le triamtérène);
  • le dorzolamide;
  • la dronédarone;
  • l'éfavirenz;
  • le flavoxate;
  • la glucosamine;
  • le glycopyrrolate;
  • l'héparine;
  • les héparines de faible poids moléculaire (par ex. la daltéparine, l'énoxaparine, la tinzaparine);
  • l'hydrate de chloral;
  • l'imatinib;
  • les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine ou ECA (par ex. le captopril, le ramipril);
  • les inhibiteurs de la monoamine oxydase (par ex. la tranylcypromine, la phénelzine, le moclobémide);
  • l'ipratropium;
  • l'isoniazide;
  • le kava;
  • le kétoconazole;
  • le kétotifène;
  • le lanréotide;
  • le lithium;
  • le lopinavir;
  • les médicaments antimigraineux de la classe des « triptans » (par ex. l'élétriptan, le sumatriptan);
  • la méthadone;
  • le méthotrexate;
  • la métoclopramide;
  • la mifépristone;
  • le millepertuis;
  • le mirabégron;
  • la mirtazapine;
  • la naltrexone;
  • le natéglinide;
  • le nilotinib;
  • l'octréotide;
  • l'olopatadine
  • l'oxybutynine;
  • le pasiréotide;
  • la pentamidine;
  • la pentoxiphylline
  • le pérampanel;
  • le pramipexole;
  • les produits à base d'herbes médicinales qui modifient la coagulation du sang (par ex. la griffe de chat, la camomille, le fenugrec, l'onagre, le chrysanthème matricaire, l'ail, le gingembre, le ginseng, le curcuma);
  • la pyrodostigmine;
  • la quinidine;
  • la quinine;
  • le ritonavir;
  • le rivaroxaban;
  • ropinirole;
  • la rotigotine;
  • le rufinamide;
  • les suppléments multivitaminiques;
  • la scopolamine;
  • les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (par ex. le citalopram, la fluoxétine, la sertraline) ;
  • les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine-noradrénaline ou ISRN (par ex. la desvenlafaxine, la duloxétine, la venlafaxine);
  • les médicaments antiépileptiques (par ex. le clobazam, le lévétiracétam, le phénobarbital, la phénytoïne, la primidone, le topiramate, l'acide valproïque, le zonisamide);
  • l'acétate de somatostatine;
  • les antibiotiques de la classe des sulfonamides (« sulfas », par ex. le sulfisoxazole, le sulfaméthoxazole);
  • le sunitinib;
  • le tapentadol;
  • la terbinafine;
  • des antibiotiques de la famille des tétracyclines (par ex. la doxycycline, la minocycline, la tétracycline);
  • le ticagrélor;
  • la ticlopidine;
  • le tiotropium;
  • la toltérodine;
  • la trazodone;
  • le tramadol;
  • le tryptophane;
  • l'uméclidinium;
  • le vaccin antigrippal;
  • le vaccin contre la varicelle;
  • la vitamine E;
  • la warfarine.
  • le zolpidem;
  • zopiclone.

Si vous prenez l'un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin pourrait vous demander de :

  • cesser la prise de l'un des médicaments,
  • remplacer l'un des médicaments par un autre,
  • modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux,
  • ne rien changer du tout.

L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses.

D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous absorbez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments.

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