Comment ce médicament agit-il ? Quels sont ses effets ?

L'étodolac appartient à la classe des médicaments appelés anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Il s'utilise pour procurer un soulagement à court et à long terme de la polyarthrite rhumatoïde et de l'arthrose. Il exerce une action qui soulage la douleur et atténue l'enflure et l'inflammation. Il pourrait s'écouler au moins 2 semaines avant que le plein effet de ce médicament se manifeste.

Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d'information sur les médicaments. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées pour tous les troubles mentionnés dans cet article. Si vous n'en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous prenez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable.

Ne donnez pas ce médicament à quiconque, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que les vôtres. Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n'a pas été prescrit.

Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il ?

L'étodolac n'est plus fabriqué ni vendu au Canada sous aucun nom de marque. Cet article n'est disponible qu'à des fins de consultation. Si vous utilisez ce médicament, discutez avec votre médecin ou un pharmacien de vos options thérapeutiques.

Comment doit-on employer ce médicament ?

La dose habituellement recommandée pour le traitement de la polyarthrite rhumatoïde et de l'arthrose se situe entre 200 mg et 300 mg pris 2 fois par jour. Quelques personnes pourraient préférer 1 dose qui se situerait entre 400 mg et 600 mg pris 1 fois par jour dans la soirée. Pour réduire à un minimum les dérangements et les brûlures d’estomac, prenez ce médicament immédiatement après un repas, ou avec des aliments ou du lait.

Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d'autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière de prendre le médicament sans le consulter au préalable.

Il est important que ce médicament soit employé conformément aux indications de votre médecin. Si vous oubliez une dose, prenez le médicament dès que vous constatez l'omission et reprenez la suite du traitement aussitôt que possible. S'il est presque temps de votre prochaine dose, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N'utilisez pas une double dose pour compenser l'omission d'une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien.

Conservez ce médicament à la température ambiante, à l'abri de la lumière et de l'humidité et hors de la portée des enfants.

Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations, ou les deux. Une marque de ce médicament pourrait ne pas être disponible sous toutes les présentations énumérées ici. Vous trouverez les diverses présentations sous lesquelles cette marque particulière est mise à votre disposition dans la section : « Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il ? »

Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l'évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés.

Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé ?

L'étodolac ne devrait pas s'employer dans les circonstances ci-après :

  • une allergie à l'étodolac ou à l'un des ingrédients du médicament ;
  • des affections inflammatoires, actuelles ou passées, de l'estomac ou de l'intestin, comme un ulcère de l'estomac ou de l'intestin ou une colite ulcéreuse ;
  • des antécédents de réaction allergique à l'acide acétylsalicylique (l'AAS) ou à d'autres médicaments anti-inflammatoires (par ex. un asthme, des démangeaisons nasales et un écoulement nasal, de l'urticaire ou d'autres réactions allergiques).

Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ?

Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent. Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin.

Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps.

Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient :

  • de la constipation;
  • de la diarrhée;
  • de la somnolence ;
  • des brûlures d'estomac ;
  • de la nausée;
  • de la fatigue ;
  • des vomissements.

La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne consultez pas votre médecin ou si vous ne recevez pas des soins médicaux.

Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste :

  • des signes de dépression (par ex. une mauvaise concentration, une perte ou un gain de poids, des variations des rythmes du sommeil, une perte d'intérêt envers toute activité, des  pensées d'automutilation);
  • une douleur abdominale ;  
  • des modifications de la quantité ou de la coloration de l'urine ;
  • une déglutition douloureuse ou difficile ;
  • des étourdissements, des troubles de l'équilibre ou un tintement dans les oreilles ;
  • des troubles auditifs ;
  • une éruption cutanée ;
  • une enflure des pieds ou des jambes ;
  • des symptômes d'anémie (comme de la pâleur, de la fatigue ou de la faiblesse) ;
  • des symptômes d'atteinte hépatique (comme le jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, une douleur abdominale, une urine foncée, des selles claires, une perte de l'appétit, de la nausée et des vomissements ou une démangeaison) ;
  • de soudaines fluctuations du poids corporel ;
  • des anomalies du champ visuel.

Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit une réponse comme :

  • des signes d'une grave réaction allergique (de l'urticaire, une difficulté respiratoire, une boursouflure du visage, une enflure de la langue ou de la gorge) ;
  • des symptômes d'un saignement provoqué par un ulcère (comme des selles noirâtres et goudronneuses, du sang dans les selles, des vomissements avec sang ou une matière qui ressemble à du marc de café) ;
  • des symptômes d'une grave éruption cutanée (comme des cloques, une desquamation, une éruption cutanée recouvrant une grande région du corps, une éruption cutanée qui s'étend rapidement ou une éruption cutanée accompagnée d'une fièvre ou d'une gêne) ;
  • un saignement inaccoutumé ou persistant, ou des ecchymoses.

Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament.

Existe-t-il d'autres précautions d'emploi ou mises en garde ?

Avant d'employer un médicament, ne manquez pas d'informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament.

AVIS DE SANTÉ CANADA

8 juin 2021

Santé Canada a émis de nouvelles mises en garde concernant l'emploi d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Pour lire dans son intégralité l'avis de Santé Canada, rendez-vous vers le site Web de Santé Canada à l'adresse www.hc-sc.gc.ca.

D'autres avis avaient également été émis au sujet de l'emploi d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) le 30 octobre 2020.

Allergie : une réaction allergique à l'étodolac peut être observée chez certaines personnes allergiques à d'autres médicaments anti-inflammatoires. Avant de prendre de l'étodolac, informez votre médecin des réactions indésirables que vous avez observées auparavant après l'emploi de certains médicaments, surtout s'il s'agissait d'autres AINS. Communiquez avec votre médecin immédiatement si vous observez des signes d'une réaction allergique, comme une éruption cutanée, une démangeaison, une respiration difficile ou une enflure du visage et de la gorge.

Anomalies du champ visuel : comme de nombreux autres AINS, l'étodolac peut causer une baisse de l'acuité visuelle. Cessez de prendre ce médicament si vous ressentez des modifications de la vision, et communiquez avec votre médecin pour un examen des yeux.

Fonction rénale :  une affection rénale ou une fonction rénale diminuée serait susceptible de causer une accumulation de ce médicament dans l'organisme et d'entraîner des effets secondaires. Si vous avez des problèmes rénaux, une insuffisance cardiaque ou si vous prenez des diurétiques (comme par ex. l'hydrochlorothiazide, le furosémide, l'indapamide) discutez avec votre médecin pour savoir quels effets ce médicament pourrait avoir sur votre état pathologique, et en retour quels effets votre état pathologique pourrait avoir sur la dose et l'efficacité de ce médicament, et demandez-lui aussi si une surveillance médicale spécifique s'impose.

Tout comme d'autres AINS, l'étodolac peut engendrer un endommagement rénal. Si vous observez des signes associés à une diminution de la fonction rénale, comme une baisse de la sécrétion d'urine, une émission de l'urine difficile ou la présence de sang dans les urines, prenez contact avec votre médecin dès que possible.

Anémie : comme tout autre médicament anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS), l'étodolac pourrait causer une baisse du taux de globules rouges (une anémie) ou causer une aggravation d'une anémie déjà présente. Si vous avez une anémie dans vos antécédents, votre médecin pourrait vous recommander de faire effectuerégulièrement des analyses de sang afin de surveiller votre taux d'hémoglobine. Si vous observez des symptômes associés à une diminution du taux de globules rouges comme un essoufflement, une sensation de fatigue ou une pâleur de la peau inhabituelle, prenez contact avec votre médecin dès que possible.

Saignement : un AINS comme l'étodolac peut causer une diminution du nombre de plaquettes ce qui rend difficile l'arrêt du saignement des coupures. Si vous remarquez des signes de saignements, comme de fréquents saignements de nez, des ecchymoses de cause inconnue ou des selles noirâtres et goudronneuses, avertissez-en votre médecin dès que possible. Votre médecin prescrira des analyses de sang courantes afin de détecter précocement des problèmes potentiels. Ne manquez pas de signaler à votre médecin, à votre dentiste ou à votre chirurgien que vous prenez ce médicament. Il se pourrait que l'un d'eux vous demande de suspendre la prise de ce médicament avant une intervention chirurgicale ou dentaire.

Somnolence ou vigilance réduite : des personnes prenant ce médicament ont signalé ressentir de la somnolence, des étourdissements et une sensation de tête légère. Évitez les activités exigeant de la vigilance, comme conduire un véhicule, faire fonctionner des machines ou accomplir des tâches dangereuses, jusqu'au moment où vous aurez déterminé l'effet de ce médicament sur vos capacités de réaction.

Rétention d'eau : comme avec la prise de nombreux autres AINS, des personnes ont signalé une rétention d'eau accrue pendant qu'elles prenaient ce médicament. Les personnes atteintes d'une insuffisance cardiaque, d'une pression artérielle élevée, d'une maladie du rein, d'une affection susceptible de mener à une rétention d'eau, et les personnes qui se remettent d'une intervention chirurgicale ayant nécessité une anesthésie générale devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur affection, de l'influence de ce trouble sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Fonction hépatique : des personnes prenant un AINS comme l'étodolac ont observé l'apparition d'une atteinte hépatique. Cessez de prendre le médicament et communiquez avec votre médecin aussitôt que possible si vous observez des signes d'atteinte hépatique, comme le jaunissement du blanc des yeux ou de la peau, une douleur abdominale, une démangeaison cutanée, des selles claires ou une urine sombre. Si vous suivez un traitement prolongé par ce médicament, votre médecin pourrait recommander des analyses qui lui permettraient de surveiller votre fonction rénale.

Potassium : un AINS comme l'étodolac pourrait causer une élévation du taux de potassium sanguin. Votre médecin vous demandera de faire effectuer des examens qui cibleront votre taux de potassium sanguin pendant que vous prenez ce médicament. Les personnes atteintes de diabète, d'une insuffisance rénale, ou les aînés, qui emploient certains médicaments (par ex. le ramipril, l'amiloride) devraient discuter avec leur médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur leur affection, comment leur affection pourrait influer sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance médicale spécifique.

Ulcères : un AINS comme l'étodolac peut accroître le risque d'ulcères de l'estomac et des intestins. Si vous avez un ulcère, si vous présentez des facteurs prédisposant à un ulcère (par ex. un âge avancé ou le tabagisme), ou si vous avez des troubles médicaux susceptibles d'occasionner une irritation de l'estomac et des intestins (par ex. une diverticulose, une colite ulcéreuse, la maladie de Crohn), vous devriez discuter avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre état pathologique, de l'influence de votre état pathologique sur l'administration et l'efficacité de ce médicament, et de la pertinence d'une surveillance ou d'un traitement spécifique.

Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux si vous observez des symptômes d'un saignement provoqué par un ulcère, comme des selles noirâtres et goudronneuses, du sang dans les selles, des vomissements avec sang ou une matière qui ressemble à du marc de café.

Grossesse : l'innocuité de ce médicament n'a pas été établie durant une grossesse. Ce médicament ne devrait pas s’utiliser durant une grossesse à moins que les bienfaits priment les risques. Si une grossesse advient pendant que vous utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement.

Allaitement : on ignore si l'étodolac passe dans le lait maternel. Si vous prenez ce médicament pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l'allaitement.

Enfants : ni l'innocuité ni l'efficacité de ce médicament n'a été établie en ce qui concerne les enfants.

Aînés : les aînés qui prennent ce médicament devraient faire l'objet d'un suivi médical assidu. Ils pourraient être plus susceptibles aux effets secondaires et une plus faible dose pourrait leur suffire en raison d’une fonction rénale et hépatique diminuées.

D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament ?

Il pourrait se produire une interaction entre l'étodolac et l'un des agents ci-après :

  • acide acétylsalicylique (AAS);
  • acides gras oméga-3;
  • alcool;
  • aliskirène;
  • aminosides (par ex. amikacine, gentamicine, tobramycine);
  • anticoagulants (par ex. apixaban, dabigatran, rivaroxaban, warfarine);
  • antidépresseurs tricycliques (par ex. amitriptyline, clomipramine, désipramine, trimipramine);
  • bêta bloquants (par ex. aténolol, propranolol, sotalol);
  • bisphosphonates (par ex. alendronate, étidronate, risédronate);
  • célécoxib;
  • cholestyramine;
  • clopidogrel;
  • colestipol;
  • cyclosporine;
  • dasatinib;
  • d'autres médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS, par ex. diclofénac, ibuprofène, naproxène);
  • déférasirox;
  • des antibiotiques de la famille des quinolones (par ex. ciprofloxacine, norfloxacine, ofloxacine);
  • desmopressine;
  • digoxine;
  • dipyridamole;
  • diurétiques (pilules pour éliminer l’eau; par ex. furosémide, hydrochlorothiazide, triamtérène);
  • drospirénone;
  • éplérénone;
  • halopéridol;
  • héparine;
  • héparines de bas poids moléculaire (par ex. daltéparine, enoxaparine, tinzaparine), méthotrexate;
  • hydralazine;
  • inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine ou IECA (lisinopril, énalapril, ramipril);
  • inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine ou ISRS (par ex. citalopram, fluoxétine, paroxétine, sertraline);
  • inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine-noradrénaline ou ISRN (desvenlafaxine, duloxétine, venlafaxine);
  • latanoprost;
  • lithium;
  • médicaments à base de 5-ASA (par ex. mésalazine,  olsalazine, sulfasalazine);
  • obinutuzumab
  • pentoxifylline;
  • phosphates de sodium;
  • porfimère;
  • produits à base de plantes qui influent sur la coagulation du sang (par ex. griffe de chat, camomille matricaire, fenugrec, onagre, grande camomille, ail, gingembre, ginseng, glucosamine, curcuma);
  • tacrolimus;
  • ténofovir;
  • ticagrélor;
  • ticlopidine;
  • tipranavir;
  • vancomycine;
  • vertéporfine;
  • vitamine E.

Si vous prenez l'un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin pourrait vous demander de :

  • cesser la prise de l'un des médicaments,
  • remplacer l'un des médicaments par un autre,
  • modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux,
  • ne rien changer du tout.

L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses.

D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous absorbez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments.

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